• Thème : les quartiers urbains défavorisés

    Thème : les quartiers urbains défavorisés

    La majorité des grandes villes se compose de quartiers urbains défavorisées. Pourquoi la situation de ces quartiers est-elle critique ? Il est intéressant de voir les différentes causes de leur situation, comment sont ces quartiers, l'impact qu'ils ont et enfin faire une comparaison entre la France et les USA.

    La société actuelle est confrontée à de nombreux problèmes. Plusieurs causes sont à l'origine de cette disparité : la délinquance qui augmente, les personnes qui deviennent moins sociables, l'esprit du chacun pour soi. Puis il y a aussi le chômage qui provoque l'exclusion des personnes. La pauvreté se rencontre souvent dans la périphérie des villes. Cette crise n'existe pas seulement en France, les pays occidentaux en subissent les conséquences également.

    La cause de cette précarité est notamment due au chômage. Celui-ci est plus fréquent chez les jeunes qui n'ont pas d'expérience professionnelle. Mais il est visible aussi chez des tranches d'âge plus avancées, personnes qui ont perdu leur emploi. La perte d'emploi n'est pas seule coupable. Il y a les personnes qui se retrouvent seules à la suite d'un divorce par exemple ; elles aussi rencontrent des problèmes d'ordre financier. D'autre part, il est constaté qu'il n'y a pas de solidarisation entre les différentes classes sociales. La pauvreté peut toucher n'importe qui, aussi bien un simple ouvrier qu'un cadre. Seulement les plus défavorisés ont moins de soutien de la part leur famille, ce qui les force à demander de l'aide auprès des services sociaux.

    Leur rôle est cependant difficile, car la gestion de telles situations est souvent complexe.

    Les problèmes des quartiers défavorisés doivent être traités en priorité pour plusieurs raisons. Dans certains quartiers, le nombre de décès chez l'enfant est préoccupant, de plus leur niveau scolaire est bas (problème en lecture et écriture). Ces problèmes ont un impact sur l'économie du pays ; les allocations, les aides sociales, la réinsertion des toxicomanes... tout cela a un coût très élevé. Les gens en ont marre de cette situation, ils le font savoir en protestant, mais ça se termine souvent avec de la violence.

    Les quartiers sensibles véhiculent cette image de violence à travers les médias. Et désormais ils sont apparentés aux ghettos.

    Le mot ghetto est maintenant employé un peu à tort et à travers. Il suffit que des quartiers aient un taux de délinquance élevé pour qu'ils soient traités de ghetto. Cette généralisation est bien dommageable, car elle ne permet pas de prendre en compte les différents modes de vie des habitants des cités. En général, les gens ont une vision rétrécie des banlieues, se contentant de ce qu'ils entendent aux infos. Les médias mettent plus en avant la violence que plutôt comment on y vit.

    Les cités de France sont loin d'être au même niveau que les ghettos américains.

    Premièrement par la taille et la position géographique. Les banlieues françaises sont très inférieures, même pas un dixième de la population américaine. Toutes les origines se côtoient, ce qui provoquent parfois des tensions. Et en France les gens qui ne travaillent pas ou qui ont peu travaillé peuvent prétendre à des aides, ce qui leur permet de mieux s'insérer dans la société. Le niveau de violence est incomparable ; en France, il s'agit plutôt de petite délinquance causée par des jeunes qui sont en manque de repères et d'autorité, car issus de familles monoparentales.

    Commentaire :

    Je pense que les quartiers défavorisés garderont une mauvaise image à cause de la violence qui y règne. Ils sont en manque d'infrastructures, les jeunes sont livrés à eux-mêmes. Ce qui explique un fort taux de chômage. En partenariat avec des collèges ou lycées, des programmes de réinsertion ont lieu mais souvent soldés par un échec. Car ils sèment le trouble parmi les autres élèves et sont alors renvoyés. Cependant certains jeunes ont le potentiel pour s'en sortir, mais ils ne disposent pas assez d'opportunités. Il faudrait plus d'associations et d'éducateurs, mais pour exister, ils doivent pouvoir se faire une meilleure image des cités, pour avoir l'envie de s'investir.


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