• La fable

    « Deux coqs vivaient en paix ; une poule survint,/ Et voilà la guerre allumée… » Que de fables n’a-t-on pas entendues ! Un renard ridiculisant un corbeau, une cigale suppliant une fourmi, un rat au secours d’un lion, des pigeons qui s’aiment d’amour tendre, un singe qui se prend pour un léopard… Contes, fariboles, récits d’homme affable ? Propos de fabuliste, de fablier ou d’affabulateur ? Toutes les fables ne sont pas des contes de nourrice, même si elles ont souvent enchanté notre enfance.

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    « C’était verl’hi. Il avait génei et le vent flaitsouf. La tetipe legaci taitlogre. Elle n’avait rien géman depuis deux jours. ‘ Je vais aller voir ma nesivoi ’ se dit-elle. Elle frappa à la tepor de la nettesonmai. ‘ Jourbon, Medama la mifour ‘ dit-elle. ‘ Jourbon ‘, répondit la fourmi… »

    La surprise passée, on finit par reconnaître la fable de La Fontaine sous cette version en verlan de La Cigale et de Fourmi, de Yak Rivais. La preuve que le verlan n’est pas si difficile et qu’il n’est pas forcément là où on l’attendait…

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    Pourquoi les Gaulois coupaient-ils la tête de leurs ennemis pour en faire un collier à leurs chevaux ? Que représentent, dans certains tableaux, ces crânes au milieu de deux tibias ? Comment se fait-il que, dans la mythologie, Prométhée se fasse justement dévorer le foie par un aigle pour l’éternité après avoir volé le feu aux dieux pour le donner aux hommes ? Notre corps est souvent mis à mal. Mais quelles valeurs attribue-t-on à ses différentes parties ?

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    « Aux armes et cetera » : cette adaptation de La Marseillaise par Serge Gainsbourg avait en son temps mis le feu aux poudres et suscité de vives passes d’armes. Sans forcément déterrer la hache de guerre, on peut effectivement faire arme de tout, ou presque, faire flèche de tout bois, remuer le couteau dans la plaie, recevoir un coup de massue sur la tête et même se faire sabrer, pendant qu’il tombe des hallebardes ! Passons donc en revue cet étonnant arsenal qui rend les mots si menaçants.

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    A la soupe ! A la croûte ! A la bouffe ! Au rata ! C’est l’heure de la briffe ! La langue populaire ne manque pas de ressources pour nous inviter à casser une croûte ou à faire gogaille. Autant de savoureuses expressions pour nous affûter les meules et nous mettre en goule, histoire de nous caresser l’angoulême. A moins que nous ne soyons contraints de jouer du fifre et de bouffer des briques ? Mais si quelqu’un a la dent, il trouvera ici de la carrelure de ventre

     

     

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